Le recours à un chirurgien esthétique pour corriger un défaut physique ou améliorer les effets d’une pathologie est de plus en plus envisagé par les hommes et les femmes. Loin des clichés développés par la pratique aux États-Unis, les praticiens francophones sont plus respectueux des règles éthiques en la matière. Désormais au-delà de l’acte chirurgical, les professionnels proposent toute une série de procédés médicaux non invasifs et réversibles.

Une alternative à la chirurgie

Lorsque l’on n’ose pas se lancer dans une intervention ou que le défaut à corriger est mineur, il peut être intéressant de choisir la médecine esthétique. Les résultats sont généralement plus naturels et l’on peut ainsi repousser, voire pallier un acte chirurgical. Par exemple, il n’est pas nécessaire de procéder à un lifting du visage dès l’apparition des premières rides. Vous pouvez par exemple opter pour des injections de Botox ou d’acide hyaluronique pour retendre la peau du visage.

Des effets moins importants

D’abord, les effets de l’acte s’estompent au bout d’un certain temps alors que la chirurgie va modifier définitivement une partie du corps. Moins invasive, la médecine esthétique nécessite tout au plus une anesthésie locale sous forme de crème. Généralement bénins, ces actes ne nécessitent pas, pour la plupart d’entre eux une période de convalescence particulière et la reprise d’une activité professionnelle est possible le jour même.

Un résultat plus naturel

Dans la mesure où l’on apporte de petites corrections par des gestes non invasifs, le résultat sera plus naturel qu’un acte chirurgical. Les techniques et les procédés utilisés ont révélé leur efficacité sur de nombreux points. Par exemple, des cliniques de Paris utilisent l’acide hyaluronique pour réduire les cernes ou le Botox pour supprimer des problèmes de transpiration. Ces actes sont réversibles, ce qui peut être un inconvénient pour certaines personnes, mais un avantage pour d’autres qui ne sont pas prêts à changer un élément de leur physique définitivement.